Sciences et Sport
Etudes et Publications scientifiques sur la Respiration Nasale et la Performance:
https://www.researchgate.net/search/publication?q=Nasal%2BVersus%2BOral%2BBreathing%2Bsport%2Bperformance
Etudes et publications scientifiques qui relatent les intérêts de la posture de la langue dans la posture corporelle :
COMPORTEMENT LINGUAL ET DU COU (Extrait)
- Martine Joly, Orthophoniste D.E
Membre de l'équipe pluridisciplinaire service de Stomatologie, Hospices Civils de Lyon. Membre fondateur de l'Association Langue, Voix , Posture.
Comment se manifestent les effets de la rééducation linguale ?
La langue commence à « s’articuler » au palais (au repos, en phonation et déglutition) - les bords stabilisent la langue latéralement - le dos de la langue se relâche les tensions lâchent.
Ce qui se manifeste pour le patient par une atténuation ou disparition des douleurs :
Cervicales , De la nuque (muscles sous-occipitaux) , Des épaules (trapèzes, point d’insertion de l’omo-hyoïdien).
Tout se passe comme si l’excès de tension antérieure ayant lâché, la verticalité pouvait s’exprimer.
L’attitude posturale change, la répartition des points d’appui au sol aussi.
Quels sont les incidences du comportement lingual sur les cervicales ?
Lorsque la langue est fonctionnelle, la déglutition entraîne une détente de la lordose cervicale avec une légère flexion occipitale.
Lorsque la langue est dysfonctionnelle, les clichés radiologiques mettent en évidence une raideur en hyper flexion avec très souvent une inversion de courbure (en C3-C4 ou C4-C5).
COMPLEXE / Occiput / Atlas / Axis ET GESTION NEUROMUSCULAIRE DU LIBRE ESPACE (F.W.S) (Extrait)- Alain Piron Ostéopathe D.O
En dehors d’une cause traumatique ou iatrogène, cette vision biomécanique et neurophysiologique nous permet de considérer la dysfonction crânio-mandibulaire (D.C.M.) comme une des expressions cliniques des dysfonctions globales d’un « système fonctionnel » cervico-maxillo-facial intégré dans l’individu entier.
Ceci devrait nous engager à la prudence et nous inciter à bien examiner l’équilibre postural du CCHLML et l’équilibre global du patient avant de décider, par exemple, d’une modification de la relation mandibulo-maxillaire ou d’une normalisation exclusivement basée sur le complexe O.A.A.